mercredi, juillet 12, 2006

Better Together - Jack Johnson (Studio)
jack johnson - better together (live)
Grey's anatomy season 01 episode 02 (part 1)




A fleur de peau : les personnagesLes internes...
C'est leur premier jour d'internat au Seattle Grace Hospital.
Ils ne se connaissent pas mais savent déjà qu'ils vont être en compétition...
Meredith Grey(Ellen Pompeo)"Je suis mal partie", tels sont quasiment les premiers mots que Meredith prononce.
A la fois narratrice et actrice de l'histoire, elle est l'âme et le corps de la série, lui insufflant aussi bien les émotions qui l'étreignent que l'énergie qui la parcourt. Sans oublier son goût pour l'ironie...
Jeune femme sensible au charme désarmant et à l'apparente fragilité, elle a beaucoup à prouver. Fille d'une chirurgienne de renom, Meredith veut lui donner tort et montrer qu'elle aussi a le potentiel. Mais pour cela, il faut déjà apprendre à avoir confiance en soi. Ce que ses collègues ignorent c'est que sa mère, l'ex-Docteur Ellis Grey, est atteinte de la Maladie d'Alzheimer. Meredith a peur des sentiments, de l'engagement.
Mais au fond de son coeur, elle croit sans doute au Prince Charmant...
Cristina Yang (Sandra Oh)
Elle est certainement l'interne qui en veut le plus. Toujours prête à vendre père et mère pour assister un médecin dans une opération. Toujours prête également à râler si elle se sent sous-employée. Distante et lucide sur les sacrifices à faire pour réussir, elle ne fait pas de quartier et ne souhaite pas s'encombrer, se laisser distraire ou détourner de son but initial : devenir docteur, pas simplement une parmi tant d'autres, mais la meilleure ! C'est aussi pour cette raison que pour elle les sentiments sont superflus, tout comme la politesse, le remords ou le scrupule.Isobel "
Izzie" Stevens(Katherine Heigl)
Ancienne mannequin, Izzie souhaite prouver qu'elle est bien plus qu'une belle plante. Elle a sans doute dû payer de sa personne plus que quiconque pour arriver là où elle est et c'est aussi pour cette raison qu'elle travaille d'arrache-pied. Mais parfois la confiance vacille et Izzie perd un peu la foi malgré sa forte capacité de résistance, physique ou mentale. Izzie est très, sans doute trop, proche de certains patients...
Alex Karev (Justin Chambers)
Prétentieux et arrogant, Alex se considère déjà comme un médecin. Alors pourquoi écouter les autres ? Capable également de s'attribuer des mérites qui ne lui reviennent pas, il est le type même de personnage que l'on ne peut s'empêcher de détester de prime abord, mais dont on ne souhaite pas se passer. Conscient d'avoir du charme, il n'hésite pas à en user, voire en abuser, dès qu'une femme passe devant ses yeux, forcément baladeurs. Chez lui, la finesse est en option. Il peut se moquer ouvertement de certains cas médicaux, parfois même devant le patient, et ridiculiser ses collègues avec des blagues potaches, lourdes et répétitives. Immature, puéril et cruel comme un adolescent...
George O'Malley (T.R. Knight)
Amoureux de Meredith depuis le premier jour, George garde ses sentiments pour lui. Et il pense que personne n'est au courant. En fait la seule personne qui l'ignore c'est sans doute Meredith... Gentil et serviable, George est infiniment sympathique. Cible favorite d'Alex, George ne répond aux attaques de celui-ci que lorsqu'il n'est pas là. Comme pour mieux se persuader qu'il peut le faire, comme s'il devait répéter avant de se lancer à l'assaut tout en sachant que dans le feu de l'action il ne pourra répondre. Timide et maladroit, George a peur des malentendus. Il passe donc son temps à s'expliquer et se perd dans des monologues confus qui débouchent souvent sur... des quiproquos ! Il est l'ami parfait, celui que les femmes peuvent accepter dans leur lit tout en sachant qu'elles ne risquent rien. En fait George est considéré comme "une bonne copine" par Meredith et Izzie, ce qui a le don de l'énerver. Après tout il est un homme, un vrai...
Les médecins...
Pour eux aussi c'est un jour spécial. Accueillir des nouveaux internes, c'est un peu comme la roulette russe : on ne sait jamais sur qui on va tomber. L'un d'eux pourrait très bien être un 007, un étudiant plus doué pour tuer que pour sauver... Il est donc temps pour les médecins de mettre les points sur les "i" et de s'imposer.
Richard Webber(James Pickens Jr.)
Chef du service de chirurgie du Seattle Grace Hospital, il est un vétéran. Il a débuté voilà plus de 30 ans dans ce même hôpital. Il est peut-être temps de songer à passer la main. Mais qui pourrait bien être son successeur ? Si Webber est respecté par ses employés, il ne fait pas toujours preuve de diplomatie envers tout son personnel et il est parfois dépassé par des événements et des situations extra-professionnelles. Marié à une femme attentionnée, il semble être un roc sur lequel on peut s'appuyer mais également se briser.
Miranda Bailey(Chandra Wilson)
Surnommée "Le Tyran" par les internes, Miranda n'est pas là pour rigoler ou pour faire copain-copain. Les querelles de cour d'école et les distractions sentimentales, tout ça c'est dangereux. Franche et directe, elle annonce la couleur à ses internes dès le premier jour : elle les déteste tous ! Si elles est sèche c'est parce que la politesse est du temps de perdu pour le patient. Autoritaire au sens le plus noble du terme, elle n'utilise son pouvoir qu'à des fins professionnelles, jamais personnelles. Intègre jusqu'au bout des ongles, son unique but est de soigner, soulager ou sauver le patient qui est sous sa responsabilité. Pour Bailey, l'hôpital, c'est le lieu de travail et rien d'autre. En dehors, elle est une femme comme les autres. Mais vie privée et vie professionnelle ne doivent en aucun cas se mélanger. C'est grave, très grave même à ses yeux...
Preston Burke(Isaiah Washington)*
Il est le prototype même du chirurgien. Ordonné, précis et sûr de lui, dans la vie comme au travail, Burke est un vrai scalpel. Praticien réputé et reconnu par ses pairs, il pourrait bien succéder un jour au Docteur Richard Webber et devenir le Chef de la Chirurgie du Seattle Grace Hospital. Déterminé à se faire respecter par ses internes, il inspire la crainte.
Derek Sheperd(Patrick Dempsey)
A la différence de certains de ses collègues, Derek prône l'écoute des patients, la patience et parfois des méthodes atypiques. Extrêmement compétent, il inspire le respect des autres chirurgiens et des internes non pas en haussant la voix mais en se concentrant toujours sur la vraie priorité : le patient. Le Docteur Sheperd fait aussi l'objet de nombreux fantasmes de la part de certaines de ses collègues. De son côté, il ne cache pas son intérêt pour une certaine... Meredith. Rendez-vous avec Meredith sur TF1 lundi 3 juillet à 22h30 pour découvrir les trois premiers épisodes inédits !
L'épisode est une pure merveille ,oh my god she bit it off , quoi ; son pénis
Culte aussi le générique nobody's know ,merveille
Grey's anatomy season 01 episode 01 (part 1)

"Grey's Anatomy" est admise sur TF1 à partir du 3 juillet.
Découvrez cette série phénomène !

Meredith Grey se réveille aux côté d'un inconnu. Pas le temps de mettre les formes et d'expliquer à ce charmant jeune homme qu'elle n'a aucune intention de le voir, elle doit se précipiter au Seattle Grace Hospital pour son premier jour d'internat en chirurgie.
Elle connaît bien cet hôpital : sa mère, Ellis, y a exercé pendant des années et y a acquis une renommée mondiale.A son arrivée à l'Hôpital le chef du service ne ménage pas Meredith et ses collègues : ils vont souffrir pour devenir chirurgien, l'exigence est impitoyable, la concurrence féroce. Certains d'entre eux ne tiendront pas le choc, d'autres seront remerciés...Pour Meredith, Izzie, Cristina, George et Alex, le plus dur reste à faire, à vivre.

"Grey's Anatomy" à coeur ouvertGrey's Anatomy débarque sur ABC en mars 2005 avec le statut de remplaçante. Un peu plus d'un an après, elle est devenue une des séries phares de la télévision américaine. Retour sur cette success story...La révélation Personne ne pouvait imaginer un tel succès...
Lancée le 27 mars 2005, en remplacement de Boston Public (alors mise en stand-by par ABC), Grey's Anatomy est instantanément un succès. Pour son Season Premiere, la série attire 16,25 millions de curieux, améliorant par la même occasion le score habituel de sa devancière dans la case horaire ! Le reste de la première saison, composée de 9 épisodes, ne déçoit pas et au soir du 22 mai, la série se conclut devant 22,7 millions de fans déjà accros et suspendus à un cliffhanger déjà mythique...
Mais au-delà des chiffres, c'est avant tout une histoire d'amour qui vient de commencer entre le public et le show de Shonda Rhimes.Le phénomèneL'engouement public pour Grey's Anatomy est tel que l'on peut légitimement parler de phénomène. La deuxième saison, lancée fin septembre 2005, est celle de tous les records. Avec une audience moyenne flirtant avec les 20 millions de téléspectateurs, elle se classe 5ème au Top des Meilleures audiences moyennes en prime-time (voir article).
Plus fort encore : le dimanche 5 février elle a tout simplement fait exploser l'audimat. Ce jour-là, date de la retransmission du Superbowl (finale du championnat de football américain), la série a rassemblé 38 100 000 fans. Soit la meilleure audience pour un programme de fiction depuis mai 2004...Les distinctions Depuis un an Grey's Anatomy empile nominations et récompenses.
Du statut d'outsider elle est aujourd'hui devenue une favorite. En à peine deux saisons, la série a remporté en 2005 un BMI TV Award (pour la musique), et en 2006 un Golden Globe (pour Sandra Oh), deux Image Awards (Meilleur Acteur pour Isaiah Washington et Meilleure Série Dramatique), un Screen Actors Guild Award (Sandra Oh Meilleure Actrice) et un Writers Guild of America Award (Meilleure Nouvelle Série). Et ce n'est sans doute pas fini...D'où vient ce charme étrange ?Ni tout à fait un drame, pas complètement une comédie... Dans un épisode de Grey's Anatomy, le téléspectateur peut passer du rire aux larmes en moins de temps qu'il n'en faut pour dire "NFS, Chimi, Iono".
Comme Desperate Housewives, elle ne se situe pas tout à fait dans le registre de la comédie ou du drame. S'il fallait donner une définition du genre "dramédie", Grey's Anatomy en serait le parfait exemple. A la fois remède contre la morosité et cure d'émotions intenses, cette série est un médicament à prescrire, sans contre-indications.Un stylo comme un scalpel... Si les patients ne peuvent pas toujours lire les ordonnances des médecins, les téléspectateurs ne pourront que remarquer la précision des scénarii, l'intelligence de la construction et la profondeur des personnages
Au début de Grey's Anatomy, les jeunes internes ne se connaissent pas.
Au fil des épreuves et des longues heures passées à l'hôpital, ils vont nouer des liens ou au contraire mettre des distances, se rapprocher ou se déchirer, s'aimer ou se détester.
En outre, les sentiments qu'éprouvent les personnages les uns pour les autres dépassent l'écran plat de la télévision et deviennent vite palpables, communicatifs, presque réels pour le téléspectateur.
Devant son petit écran, ce dernier va lui aussi apprendre à connaître Meredith, Cristina, Izzie, George et Alex, à les aimer ou les détester. Leur premier jour au Seattle Grace Hospital est aussi celui du téléspectateur.
A partir du moment où le public commence à éprouver une sincère tendresse envers les personnages d'une série, le pari est gagné...Une alchimie mystérieuse...
L'une des grandes réussites de Grey's Anatomy est sans aucun doute le parfait équilibre entre les personnages principaux, l'alchimie instantanée qui existe entre Meredith, Izzie, Cristina, Alex et George. Cela tient sans doute aussi à la qualité du casting : Ellen Pompeo (une Meredith à la fois gracieuse et fragile), Sandra Oh (impayable dans le rôle de Cristina), T.R. Knight (l'attendrissant George), Katherine Heigl (qui apporte toute sa conviction à Izzie), Patrick Dempsey, Justin Chambers...
Non, il ne s'agit pas d'"Urgences" Si vous êtes allergique à Urgences ou si vous ne supportez pas l'atmosphère des hôpitaux, Grey's Anatomy est faite pour vous.
D'un autre côté, si vous êtes un fan nostalgique du Dr Ross et si votre parfum préféré se nomme "Bétadine", la série est également conseillée !
Grey's Anatomy n'est pas un spin-off d'Urgences, ni même une lointaine cousine. Le seul point commun entre ces deux séries est évident : son décor principal. Mais la ressemblance s'arrête là. ER (en VO) a révolutionné la narration au milieu des années 90 et dépoussiéré un genre (la série médicale).
Grey's Anatomy joue dans la même catégorie (un métier extrême ayant obligatoirement des répercussions personnelles) mais un tout autre jeu (il ne s'agit pas d'une chronique quotidienne sur la vie aux urgences mais, entre autres, d'un journal intime).
Dans la première époque d'Urgences, le métier prenait le pas sur l'humain.
Dans Grey's Anatomy, les personnages sont à la fois le fond et la forme, le point de départ et la ligne d'arrivée.
Pas de réalisme, mais c'est réaliste. Si Grey's Anatomy cherche à prendre ses distances sur la reconstitution à outrance, elle n'en reste pas moins ultra-réaliste, crédible et spectaculaire, accessoires, mise en scène et jargon technique à l'appui. Mais ce n'est jamais une finalité et les scénaristes, sans doute en réaction à ce qui a été déjà vu ailleurs, se sont même amusés à traiter des cas médicaux absurdes, comiques, spectaculaires, dramatiques... toujours efficaces.
Un juke-box La musique joue un rôle capital dans Grey's Anatomy. Son omniprésence dans l'épisode pilote suffit pour s'en convaincre. Comme un symbôle de l'importance de la bande son de Grey's Anatomy, les titres des épisodes (en VO) sont aussi des titres de chansons : A Hard Day's Night (les Beatles), The First Cut is the Deepest (Cat Stevens), Break on Through (les Doors), Losing my Religion (REM)...
Qu'elle soit utilisée comme une simple illustration ou en complément de l'action, la musique dans la série participe pleinement à la narration, les chansons font partie intégrante de chaque épisode. Créatrice ou amplificatrice d'émotion, la musique est un des éléments moteurs de l'énergie communicative de Grey's Anatomy.
Dans cette série plus que dans n'importe quelle autre, la musique a un rôle à jouer, elle est une voix qui porte une émotion (celle du personnage) ou qui la provoque (chez le téléspectateur), qu'il s'agisse de rires ou de larmes.
Grey's Anatomy ou l'émotion à tue-tête...
En tous cas ,à la fin de l'extrait; katerine heigl connue pour Roswell y fait des touchers rectaux sur une petite perle de musique. Un morceaux pop bien entrainant.