mercredi, juin 07, 2006

petit hommage personnel

On se promène , un matin , une nuit , un jour au hasard hagard ,perdu sur le net puis ,on parle on tchache, on blague , on drague mais justement on ne croit pas en meetic et ces rencontres du net mène a quoi,à trouver des gens de ça fac ,des clichés de coiffeurs fan de Mylène Farmer,drag queen du dimanche, dro


Légèrement obstiné, mais comme je suis séduit par l'esprit et la voix, je vais faire l'effort de craquer Bises

Alors à mon tour de te parler un peu de moi.... Comme tout le monde,je vais dire que je ne sais pas par ou commencer, parce que ca donne l'impression d'avoir énormément de choses à dire sur soi, et puis, je vais enchaîné sur les qualités et les défauts, avec un esprit si perverti que j'en donnerai 3 de chaques, et des défauts qui n'en sont pas vraiment, comme à un entretien de recrutement...Alors allons-y, pour le coté positif de la chose, je suis quelqu'un d'entier, de franc et d'allumé, pour le coté obscur de la chose, je suis impulsif, tétu et fétard. Ca avance a rien de te dire ca, j'en suis bien conscient, mais ca aurait été une question posée un jour ou l'autre, alors autant donner laréponser avant de perdre notre temps dans les futilités, non ?

Pour la partie des j'aime ou j'aime pas....ça dépend des jours...et puis il faut que je t'en laisse pour plus tard, juste histoire que tu aies envie de répondre, juste histoire que tu veuilles en savoir plus, beaucoup plus....Pari tenu : pas de joker, pose moi les questions que tu veux, commençons par faire connaissance en toute franchise .


Quelque ligne d'une connaissance
alors un jour des choses commence ainsi

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De «Minute» à «VSD», le directeur de la rédaction a connu un parcours chaotique.

Mattei : des plaies, des bosses et des «coups» et un bon coup de boule dans le face du mafieux.


Devenu, en 1979, grand reporter au Journal du Dimanche, François Mattei se passionne pour le Liban et l'Afrique. Et là, une bosse. Il est viré en 1986. «Pour avoir dénoncé le fait que plusieurs de mes confrères travaillaient pour les services secrets camerounais», assure-t-il. Pour s'être empaillé avec un autre ancien de Minute, également grand reporter au JDD, selon des témoins de l'époque. Soutenu par le SNJ, il fait un procès au journal. Et le gagne. Lorsqu'il est réintégré, en 1988, plusieurs journalistes de l'hebdomadaire demandent leur mutation ou démissionnent, refusant de travailler avec lui.

L'itinéraire journalistique de François Mattei bifurque en 1992 lorsqu'il devient manager des Gipsy Kings. Ou plutôt d'un ersatz : le groupe «André Reyes et Gipsy Stars». Il finit par revenir à la presse, et pige pour le Nouvel Obs, le Point ou VSD.

La gestion des Gipsy Stars le rattrape en 2003, alors qu'il est rédacteur en chef à France Soir, embauché par André Bercoff. Il est arrêté au retour d'un voyage au Maroc et mis en prison. Il y passera deux mois. «J'avais été condamné par contumace, sans le savoir, explique-t-il. Convocation et jugement ont été envoyés à une ancienne adresse.» Un nouveau procès a lieu à l'issue duquel il est acquitté. Mais l'épreuve l'a secoué : «J'ai traversé ça tout seul et croyez-moi, j'en ai bavé», dit-il avec émotion.

Il quitte France Soir en 2005, renoue avec le journalisme indépendant. Fait des coups, dont l'interview de Fofana dans sa cellule à Abidjan, qu'il vend à VSD. Rappelé à France Soir par le tandem des repreneurs Brunois-Rey, il assure qu'il n'est pas question de mettre le quotidien au service de Jean-Louis Borloo, ministre de l'Emploi, «grand copain» de Jean-Pierre Brunois. Mais simplement de faire «un journal pour Monsieur Tout-le-monde, un journal grand public, ce qui ne veut pas dire que ce ne sera pas intelligent».

«J'ai 57 ans et je suis plein de plaies et de bosses», confie le nouveau directeur de la rédaction de France Soir. Parmi les plaies, citons ses débuts professionnels à Minute, à la fin des années 70. «On me fait passer pour un homme d'extrême droite, mais c'est tout ce que je déteste, le racisme, le mépris, le colonialisme.» D'ailleurs, à l'entendre, François Mattei ne s'occupait pas de politique, seulement des pages littéraires. «A l'époque, Le Pen faisait 2 %, le contexte n'était pas le même. Et j'en suis parti quand j'ai découvert que plein de collabos y avaient trouvé refuge.»


«France Soir a toujours fonctionné avec beaucoup de pigistes et de correspondants», plaide la direction. Qui n'hésite pas à invoquer la mémoire de Pierre Lazareff, dirigeant du journal au temps de sa splendeur d'après-guerre : «Le nouveau France Soir, ce sont les ingrédients Lazareff revus à la lumière de notre époque».


C'est la mort dans l'âme qu'une descente aux enfers continu à moins de le rencontrer pour changer d'avis ce journaliste na plus aucune crédibilité auprès des jeunes qui sont comme nous le savons le part de lecteur des gratuits. Comparer une merde pour sauver sa peau avec des articler sans saveur ni odeur à un très grand; il faut arrêter !!!!

Je pense que lazareff et sa femme se retourne avEC Giroud SE RETOURNE
dans leur tombe .

france soir ,noir c'est noir ou quand une merde sort !


Quand on regarde Fance Soir , on se dit tient ; c'est nouveau . On regarde,on le prend en main,le tate , le touche,le sent et ça pue le papier de mauvaise qualité . L'éssai n'est pas concluant,il n'a garder de France Soir que le nom mais où est l'aspect ,le format , la typo acceuillante,les titres,le service politique ...

France Soir n'est plus France Soir comme le France , il est décédé. Huit semaines d'abscence auront suffit à un échec; ce sont des vulgaire people digne de la gutter press ,des tabloids qui sont là . Indigne de l'histoire du grand bléssé : Mariah Carey, Guy Roux et la sécurité routière sont à la Une du quotidien .

La Une présente une photo de la chanteuse américaine Mariah Carey interviewée "en exclusivité";hum quelle exclusivité une grosse vache à moitié retouchée , vive moby Dick , ou sauvez willy 4 pour la promotion de photo vue par tous surtout dans voici et people avant la sortie d'un nouveau disque, ainsi qu'une photo de Guy Roux interrogé par le journal sur l'équipe de France de football et un gros titre pour "un sujet sur la sécurité routière, le débat sur plus de répression au prix de plus de conducteurs sans permis". Pour sauver son honneur !!!!

La nouvelle équipe dirigeante a décidé de remettre les compteurs à zéro par rapport à l'histoire du journal depuis sa création puisque l'édition de mercredi comporte le "N°1".

Un format tabloïd garder , le journal compte 40 pages au total, dont 32 pages en quadrichromie et 8 pages sur les courses hippiques,fabriqué dans six imprimeries et distribué dans 27.000 points de vente.

Petit Rappel

Avant l'arrêt de sa parution le 13 avril, France Soir était diffusé à quelque 35.000 exemplaires.

La Cour d'appel de Douai avait confirmé le 16 mai la décision du Tribunal de commerce de Lille qui avait retenu le 12 avril le projet de reprise du journal de l'homme d'affaires Jean-Pierre Brunois associé au journaliste sportif Olivier Rey . Quel diktat

Hostile aux repreneurs qui prévoyaient de conserver 51 des 112 salariés du quotidien, le personnel de France Soir avait lancé juste après la décision du Tribunal de commerce. M. Brunois est devenu PDG de France Soir et François Mattei a été nommé directeur de la rédaction. Agé de 57 ans, M. Mattei a été notamment grand reporter au Journal du Dimanche et rédacteur en chef à France Soir (de septembre 2003 à février 2005).


Non , espérons n°fin en attendant les chiffres qui ne devraient pas être exeptionnel sinon c'est la mort du journalisme qui sera annoncé ;se sont 150 000 exemplaires qui ont été tiré ,se soir France Soir fera le bilan !!!!


  1. source : AFP,libération .