mardi, juin 27, 2006

ingrid le courage

Ingrid Betancourt va bien", affirme le commandant des FARC

La Franco-colombienne Ingrid Betancourt, otage depuis février 2002 des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC, guérilla marxiste), "va bien", a affirmé le numéro deux des FARC Raul Reyes dans un entretien au quotidien français L'Humanité paru mardi.

"Ingrid Betancourt va bien. Bien dans la mesure de l'environnement dans lequel elle se trouve. Ce n'est pas facile quand on se trouve privé de liberté. Mais c'est une femme intelligente, affable", a déclaré Raul Reyes à l'envoyée spéciale en Colombie du journal communiste.

"Elle n'a jamais été capturée parce qu'elle est française et encore moins à des fins économiques. Elle l'a été pour obtenir la libération de quelque 500 guerilleros", a-t-il ajouté.

En échange de ces libérations, les FARC restent "disposées à délivrer Ingrid Betancourt", âgée de 44 ans et retenue depuis le 23 février 2002, ainsi que "trois agents de la CIA, tous les commandants et les policiers prisonniers retenus depuis plus de six ans" et des dirigeants politiques, a répété Raul Reyes. Mais il a dénoncé un gouvernement colombien qui "passe son temps à renier ses promesses, à offrir de l'argent et a assassiner", jugeant que "la confiance est perdue".

Raul Reyes a en revanche qualifié de "pays amis" la France, la Suisse et l'Espagne, qui ont proposé la création d'une zone démilitarisée sous contrôle international dans le sud-ouest du pays pour négocier un accord entre le gouvernement et les FARC.

Il avait affirmé jeudi dernier sur la chaîne de télévision Telesur que les FARC étaient "disponibles et volontaires pour parvenir à un accord humanitaire", mais que celui-ci "requiert de la part du gouvernement une vraie volonté politique". Les FARC, principale guérilla de Colombie avec quelque 17.000 combattants, proposent d'échanger 58 otages contre 500 rebelles emprisonnés.

AFP 27.06.2006 - 13:46

La rupture

Je modifie,l'idée, et me la réaproprie PAR LE CONCEPT SUIVANT :" Chaque jour un sujet ,un blog ,une vidéo ,un état d'âme et d'esprit""
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La rupture ,premier sujet des histoires d'a en général : Hhum ça fait mal,ouch,on ne mange plus ,l'a digère ,l'a revoit,l'a comprend, l'écrase;l'a conçoit,l'a reprend après se l'être pris en plEine face. C'est fais jamais du bien toujours du mal.


Chap. 1 : Juste une mise au point sur le bordel interminable qu’est ma vie !!!!!!!


Un bon début Pour ce que je considère être une mauvaise fin sans happy end à l'américaine de toutes comédies à l'eau de rose à la love storie,love actually et autres choses pour guimauve lover . Une histoire par d’un sentiment .
Les miennes rastigniaciennes partent de la souffrance,de la crise ,de la haine mais d’un bilan avant mes vingt ans pour comprendre ou j’en suis et comment je pourrais aimer quelqu'un un jour .

Fini, les balades du long du canal de vannes à ciel ouvert, les escaliers de Roma et les paysages de cartes postales du sud de la France QUE J'aurais aimer voir dans tes bras .
Fini, pour moi ; les cafés du dimanche matin avec les croissants sur ta terrasse et les cornetti bourrés d’une crème à 15 KG la bouchée sur les bords du lac de Trévignano in Italia vicino à Roma !

Fini, Rome et le temps de l’insouciance dopé au cookies et autres pack haagen daas !

Fini ce que je voyais et pensais être ce que je considérais comme un plan sur la comète : mes rêves, les nôtres, les vôtres, ceux de moi, de nous et des autres qui 24 heures sur 24 pensont aimer et que cela est on ne peut plus naturel et réciproque !

Fini, les choses que je n’ai pus concrétiser simplement par peur DE CRAINTE de ne pas les réaliser un jour frustrer déjà trop !

Fini, ce goût de l’amertume, du principe de précaution et de préservation qui emmerde la vie des gens !
De ce VALEUREUX et irresistible courage à quatre mains, pas deux ou trois mais bien évidement; quatre pour plus de bonheur et de rage dans mon tous petit cœur qui bat tous bat la chamade d’une valse à trois temps qui n’est plus chantante mais valsante au temps de le spleen attitude.

Pas de vacances, mais nous, c’est pareil ou plus douloureux : ce fut pareil car s’est du passé mixer entre le présent et l’imparfait au conditionnel subjonctif passé composé mais qui à l’espoir de vouloir une seconde chance dans un futur que je pensais proche.

On verra et je verrais car tel est l’histoire de la vie amoureuse chez l’ordure humaine.

On rencontre, voit,suit,apprend,rit,pleure,sourit,chante,devient aveugle,fous,voleur,désirable,on se rend méprisable,on ressent quelque chose qui fait de vous un super héro ou un surhomme,on est invisible,invulnérable,on saute,court partout pour la personne désirée et souhaitée ,invincible,dingue,buggant,prenant,bluffant,touchant,méprisant,drogué ,envoûté, méprisant
et méprisable,aveuglé,perturbé,pommé,largué,en vrac,cruel,pathétique,hallucinant,décuplant, désespéré,minable,malade,déprimé,triste,chaviré,chamboulé,craqué,cassé,frivole,espiègle ,joueur,démesuré,menteur,con,bête,diminué ,plaisir décuplé,douleur exquise,tableaux nus croqué du réel,folie passagère,test de grossesse,gel,capote,sexe,baise,partouze,tournante,poppers, arome,gode,fouet,menotte ,fist, bar et brokeback ,violence dans le sang, puissance extrême,domination,bisexuel mais tendance plus pour les mecs,fétichiste,actif pour ne jamais être passif,exhibe,naturiste chez et à la plage ……

Au jour d’aujourd’hui, j’en suis à un point zéro, néant SUR CETTE chose qu’est l’union de deux êtres. Je ne suis pas un expert juste un débutant qui lose sans continue.

En Dépassé par les nappys que je ne contrôle plus et fatigué de me levez à 16 heures, de ne rien foutre de mes journées ,de ne plus penser qu’ à savoir la manière la plus rapide pour balancer l’argent en l’air en n’en jouissant le plus possible et vous dégoûtez toute votre petite vie bien rangé dans leur placard secret prêt à exploser au grand jour parce que tous se sait dans votre Monde. Et que ça vous à pété à la geule ciomme une bonne petite bombe maison enfouis sous les draps du lit

Pour l’instant, je suis un peu trop refroidi par nous ou plutôt par ce changement anormal qui se passe quand l’être deshumain n’a plus goût à rien. La simplicité au goût des choses de la vie a disparue trop vite. La faute à l’âge, mon monde, mes amis et tous ce qui m’entoure DEVENU secondaire et tertiaire voir du quaternaire.

Je devenais gentil, niaiseux, mielleux ; je ne sortais et ne baisais plus depuis nous deux.

Plus de sorties avec le danger. Plus de drogue caché. Plus de coke sniffer au bon marché. Plus de rallye, de concert où l'irrésistible en vie de vous jeter,de faire exploser une bombe,de vomir;de crier ,pleurer vous prends tous le temps pour un bas les masques surprise.

Plus de viande, de boisson gazeuse mais des conneries bio pour mon bien –être intérieur. Du vin pour mon corps et mon esprit plus si sain et innocent.

Égoïste ,égocentrique sur mon je et mon jeu,iceberg aux sentiments,mythomane du faubourgs bretons,menteur avétéré,pommé vannetais , lâché du zob ,masochiste de la douleur,fétichiste des pieds,poète maudit,violent extrême déchiré,rebelle de gauche,arriviste vannetais,faux américain,bostonien,ex- scout Vénètes protestant,ancien collégien souffre douleur de gregam city,lycéen atypique en marge de la société,révolté constant, branleur des vacances et week end sur Paname,tata resto fini,my laure dans le Gers,Carnac pour la baule beach,st trop pour jeune en baise,bateaux,avions,Falcon, taxi ( g7),métro (non) ,boulot (allez au diable,je ne travaillerais jamais ,préfère profiter comme tous parasites de la société moderne à laquelle je profite de tous ces avantages fiscaux payable en nature) …..


Je suis encore perturbé, tu crois ! Je me réveille vide sans éclat, les cheveux en l’air ce matin mais c’est comme tous matin et aucunes pulsions à assouvir dans l’absolu. Même pas la bouche pâteuse,ou le saladier remplie de quinoa et reste d’alcool d'un jeudi soir.

Peut –être un café, une clope, un joint, un coup de fil, des sms, le son de la télé lci et itélé à fond entre mtv et le reste pour apprendre les désastres de la journée. Mais, même AVEC ma chanson,je me fais chier , et je clope sur clope pour cloper sans fin .De paquet en paquet et de verre de vodka en verre de vodka mixé au whisky avec parfois le cadavre d’une bouteille à mes côtés de champ à 2 500 .

Ma vie n’oscille qu’entre charme, luxure et volupté. Je contemple et je suis admiratif d’une place que je cherche à atteindre alors que dehors,par delà nos frontières ; des guerres se déclarent,le sida ravage ,la famine continue,la mort survient,le pauvreté centuple à chaque secondes,le capitalisme profite,l’argent perdure,on vend,on achète,on perds mais personne ne gagne,on exploite,massacre,torture,domine,mais personne n’appelle à la révolte dans le sang.

L’homme n’engendre que le mal ET LE MAL me fait du bien. On creuse la chair. On fend ses tripes et se triture le cerveau.

Où est l’amour, la paix, la patience, la gentillesse, la contemplation, le sourire, l’envie,le bonheur,les concepts simples d’un dieux unique monothéiste.

J’ai un appart boulevards Malesherbes à 8 millions que je n’occupe jamais CAR je dors DANS UN PRoFOND SOMMEIL CALME ET PAISIBLE à fédération.
Un Dupleix ou BIEN un vulgaire caprice de gamin auquel j’ai détruit par ennui le charme des pierres beige et douce de chiiste qui amenaient à mon bureau, mon lit et ma gigantesque salle de bain. Une adresse pour les cartes de visites des familles .

Je devrais être satisfait mais justement, je suis insatisfait ,éternel caprice CAPRICIEUX !

Assis perplexe dans mon salon, reqroquevillé, je mord ma lèvre supérieure, instinct animale de type délaissé en mal d’amour qui n’a rien à foutre de ces dix doigts.

Je vois avec un sourire pincé le bordel de ma vie s’étalé.
Celle du rastigniac dont les ailes et les rêves ont brûlés pour disparaître dans les fonds abyssaux du port de Vannes . Ville pittoresque située dans le Morbihan entre des songes et un passé sombre inavoué.

Tous LE monde cache ses paranoïas oubliées au fond de son lobe gauche QUI un jour ou l’autre explosent au grand jour. LES miennes je les combat petit à petit,des bêtes qui m’entourent : des connaissances,des croyances,un monde où je gravite,des désillusions,des craintes,un enfer,les codes des nappys , le monde des justes,les crises de d’hystérie incotrolable,la douleur de la chair, les lames des couteaux ,un piège qui se referme sur vous sans aucun cris.
Trop habituer à